CO2 + 3 H2 .....> CH3OH + H2O , (équation i i i i i) ,
a une température obtenu avec un petit feu de branche(au moins 200 degrés Celsius a l'intérieur du cylindre métallique épais du haut, a une pression d'environ 2 atmosphère), le catalyseur a été de la laine de cuivre traité pour obtenir de l'oxyde de cuivre(possiblement).
Le chalumeau a hydrogène que l'on voit sur la vidéo est simplement pour éliminer l'air a l'intérieur du cylindre du bas;
une fois que je verse la solution chaude d'hydroxyde de sodium (3 mol/L) sur des morceaux d'assiette d'aluminium, il faut immédiatement allumer l'hydrogène qui sort, ce qui cause une violente sorti du gaz intérieur sans flamme visible, j'ai du répéter au moins une fois cette allumage explosif avant d'avoir une flamme visible continu, a défaut de ce chalumeau a hydrogène, on peut toujours expulser l'air avec de la vapeur d'eau( notons que le cylindre du bas était au départ froid et que je l'ai légèrement chauffé avec un réchaud formé d'une petite cannette de graisse écologique de camping, comme montré sur la vidéo sous ce cylindre du bas).
Aussi j'ai enlevé ce petit réchaud de camping pour allumer un petit feu de branche a la base du cylindre du bas pour aider la production d'hydrogène, ce cylindre contenant une casquette d'étanchéité en caoutchouc, il ne fallait pas trop que je chauffe pour éviter qu'elle fonde.
Le cylindre du haut est rempli de CO2, lorsque nous fermons le robinet pour éteindre le chalumeau a hydrogène, normalement on devrait entendre la soupape sifflé a 5 fois la pression atmosphérique(de préférence 7 fois la pression atmosphérique), c'est a ce moment que l'on doit ouvrir la valve rouge pour équilibrer la pression des deux cylindres, puis refermer cette valve, ce qui devrait donner dans le cylindre du haut un rapport de 3 mole d'hydrogène H2 pour 1 mole de CO2;
lors de cette expérience du 31 mars 2013 j'ai ouvert la valve rouge avant d'attendre la soupape sifflé, j'ai entendu le gaz monté dans le cylindre du haut et après quelques secondes j'ai refermé cette valve, j'ai alors noté que le cylindre du haut était encore frais, selon mon protocole de départ, je devais chauffé ce cylindre avec un petit feu de branche, en déplacant ces deux cylindres unis par terre a l'horizontal, j'ai oublié ce détail et déconnecté le cylindre du haut, ce qui a diminuer la pression intérieur avant que je puisse ajouter un bouchon vissant d'étanchéiter, la pression du gaz intérieur était donc revenu a la pression atmosphérique, la proportion du CO2 et du gaz hydrogène a du rester le meme, c'est la quantité des réactifs qui a diminué, aussi comme j'ai du perdre du CO2 dans ce cylindre du haut lors d'une précédente expérience(en novembre 2012) qui n'a pu etre terminer en raison d'une casquette d'étanchéité défectueuse pour le cylindre du bas, cette diminution du CO2 a bien pu compenser la diminution d'hydrogène dans ce meme cylindre du haut.
J'ai chauffé ce cylindre du haut sur un petit feu de branche et je me suis éloigné et attendu que le feu soit éteint avant de revenir pour ouvrir ce cylindre;
en ouvrant le bouchon d'étanchéité j'ai remarqué un sifflement comme si un gaz sortait ou plutot c'est de l'air qui entrait, car en allumant une allumette près de l'ouverture de ce cylindre un jet explosif de gaz est sortit rapidement avec une partie de la laine de cuivre qui était a l'intérieur, de l'air a bien du entrer suite a l'ouverture de ce cylindre car selon (l'équation i i i i i) il y a au départ 4 molécules de réactif puis 2 molécules de produit qui reste, ce qui explique que la pression interne dans ce cylindre est devenu plus petite que la pression atmosphérique du gaz interne(avant chauffage).
Il avait un liquide a l'intérieur de ce cylindre, probablement que l'eau était en proportion importante étant donné le procédé de production d'hydrogène que j'utilise, je déduit qu'il avait aussi du méthanol dans ce liquide, car ce liquide a partiellement geler, du liquide était sur la glace, il faisait -3 degrés Celsius ce matin du 1 avril 2013, j'ai versé une partie du liquide qui n'a pas gelé sur une épaisse assiette d'aluminium froide(au moins -3 degrés Celsius), au lieu de geler au contact de cette épaisse assiette d'aluminium froide, elle s'est plutot évaporer et c'est a cause de cette vitesse d'évaporation que je déduit que ce liquide devait contenir une importante quantité de méthanol, mais aussi d'eau, car je n'ai pu faire bruler ce liquide froid avec des allumettes.
Cette expérience a été réalisé sur le site de recherche Baigrosnour, Foret Montmorency,
Québec, Canada